Echos de l'Ifasic

Ils étaient à quinze à prendre le départ, sept ont franchi la ligne d’arrivée. Eux, ce sont les étudiants de l'Ifasic qui viennent d'être retenus pour le test ultime devant leur ouvrir les portes du studio de la Radio Top Congo . Font donc partie de ce peloton de tête : Myriam Iragi Maroy, Marcel Kitambala Kwilu, Trésor Kiyombo, Osée Manzanza, Mpungu Betukumeso, Wenda Lumbi et Kamenga Makwala. Ces derniers sont attendus à la la Radio Top Congo, le lundi 02 octobre à 10 heures, pour la finale. Les cinq meilleurs seront confirmés à l’issue d’un stage de trois mois, a laissé entendre Christian Lusakueno. Pour mémoire, lundi 17 juillet 2017, quarante-quatre jeunes gens ont participé à la première manche de ce concours. Un groupe de quinze participants sera retenu pour un deuxième test qui aura lieu trois jours plus tard, soit le jeudi 20 juillet 2017. C’est donc à la suite de cette dernière épreuve que les sept ont été élus pour la finale.  Il faut dire que le partenar...

…Quelques radios fonctionnent à Lisala et à Bumba, mais pas de journalistes formés et même pas de monteurs..., ...inexistence totale de la presse écrite et pas la moindre ombre d’éditeur de journal… Les rares journaux qui y parviennent sont lus en groupes  de lecture... Cette description combien pittoresque,  c’est en fait le cri de détresse que lance, à qui veut bien l’entendre, Jossart Libula Mopolo, 30 ème promotion de l’Ifasic, fraîchement élu Président de l’Association des journalistes de la Mongala (Province issue du démembrement de la l'Equateur). Ce Jeune homme truculent, à l’énergie débordante et à la verve digne des tribuns de la Rome antique a un plan. Il s’agit, de toute urgence, d’envisager un programme de formation pour les gens qui pratiquent le journalisme sur le  terrain. Il s’agit en fait de renforcer les capacités en vue d’uniformiser le style selon les standards classiques. Loin de se limiter au seul secteur des médias, ce produit de l’Ifasic...

Attestation de reconnaissance attribuée à l’Ifasic pour sa contribution à la bonne marche de l’Union Congolaise des Femmes des Médias.  Ce message, on peut le lire sur le brevet que l’Ucofem a décerné,  le dimanche 24 septembre 2017 en  la salle  La Perle de sainte Anne  de Kinshasa ,  à la première école de journalisme de l’Afrique centrale cela, en marge de la célébration des vingt années d’existence de cette association.  Devant un parterre d’invités triés sur le volet, les professionnelles des médias entendaient ainsi saluer la qualité de la formation reçue à l’Ifasic ainsi que l’encadrement qui leur a permis de consolider l’organisation de leur association. Cette célébration a été l’occasion, pour la Présidente du conseil d’administration de l’Ucofem, de faire le bilan des activités l’association. Elle a rappelé au passage que la genèse de cette organisation remonte au 17 septembre 1997. Il s’agissait d’une initiative émanant d’un groupe ...

La silhouette fine, discrète à souhait, Kasongo Adihe Ange  a tout l’air d’une personne timide. Ne vous y trompez pas. Derrière cette caricature se cache une journaliste battante, au langage châtié, à la plume incisive, passionnée de culture et d'écriture. Tenez : admise à l’Ifasic en 2007 (trente-deuxième promotion), cinq ans plus tard, Kasongo Adihe Ange décroche son diplôme de Licence en sciences de l’information et de la communication, option journalisme politique extérieure, spécialisation: presse écrite. Aujourd’hui, elle vit à Paris où elle partage son temps entre les écoles supérieures de journalisme et l’environnement professionnel à travers les grandes rédactions. En ce moment-ci, elle collabore au magazine Jeune Afrique, après y avoir été admise pour un stage de deux mois. Pour Ange, l’écriture journalistique est une véritable passion. Elle collabore avec le journal en ligne Actualité.cd  depuis sa création. Parmi les grands reportages réalisés, il y a...

La communication banale  : applications et expériences, telle est la thématique qui va être abordée par le numéro 2017/2 de la revue Cahiers Congolais de Communication, à paraître  en décembre 2017. Réalisé sous la coordination des Professeurs Jean-Chrétien Ekambo, de l’Ifasic, et Ludovic-Robert Miyouna, de l’Université Marien Ngouabi (Brazzaville), ce numéro se propose  d'apporter un éclairage sur une parcelle de la communication  jusqu’ici  demeurée dans l’ombre des recherches scientifiques. Un appel à contribution a bien été lancé à la communauté des chercheurs. La Direction du Centre de recherche en communication pose ainsi quelques balises intéressantes  pour la navigation dans ce secteur. L'argumentaire ci-dessous a été concocté quant à ce.     En remontant le cours de l’histoire, l’on se rend compte que le phénomène général de la communication s’est trouvé confronté, à tous âges et sous toutes les latitudes, à un principal obstacle n...